Castelnaudary, une « bonne ville » du Lauragais à la fin du Moyen Âge              par Marie-Claude Marandet

À partir d’archives nombreuses (registres notariaux, livres d’estimes, sources judiciaires), Marie-Claude Marandet nous plonge dans la vie d’une petite capitale régionale.

 

Sont abordés de multiples thèmes : administration de la ville, levée des impositions, cadre de vie, économie basée sur une polyculture (céréales, pastel, élevage ovin) permettant la vente de produits particulièrement rentables (agranat, laine).

           

Diverses catégories d’habitants sont évoquées, une place particulière est faite aux femmes. Sont aussi traitées les attitudes devant la mort et la violence privée et sa répression.

 

 

Marie-Claude Marandet, professeur d’histoire médiévale de l’université de Perpignan Via Domitia ; U M R 5136, FRAMESPA, université Toulouse-Jean Jaurès.

Un livre broché 21 cm x 29.7 cm d’environ 500 pages.

Date limite de souscription

31 décembre 2021

au prix de 18 €

Parution 1er trimestre 2022

25 € après le 31 décembre 2021

Ouvrage publié par

 

Centre Lauragais d’Études Scientifiques

Télécharger
Bulletin de commande "Castelnaudary, une « bonne ville » du Lauragais à la fin du Moyen Âge" par Marie-Claude Marandet
BULLETIN DE SOUSCRIPTION Marandet 1 PDF
Document Adobe Acrobat 229.4 KB

90e anniversaire du Collège d’Occitanie 1927-2017 (90e anniversari del Collègi d’Occitania 1927-2017)

 

Actes des journées d’études, vendredi 8 et samedi 9 décembre 2017 Castelnaudary, théâtre des 3 Ponts

Le Centre Lauragais d’Études Scientifiques vous propose de souscrire au livre :  90e anniversaire du Collège d’Occitanie 1927-2017 au tarif préférentiel de 10 €. 

Pour une livraison par la poste, ajouter une participation aux frais de 7 €.

Date limite de souscription 31 janvier 2021 au prix de 10 €

Parution 1er trimestre 2021 au prix de 15 €

Avant-propos

Loïsà Paulin e sos mèstres Josèp Salvat e Antonin Perbòsc (Louisa Paulin et ses maîtres Joseph Salvat et Antonin Perbosc).

Jòrdi Blanc

Les femmes méconnues des manuscrits du Collège d’Occitanie.

Rose Blin-Mioch

Sur les traces d’Arnaud Vidal, Alexandre Soumet, Antoine François Andréossy, Auguste Galtier, Auguste Fourès, Prosper Estieu, Joseph Salvat et René Nelli en Lauragais.

Michel Dauzat

Un collège chaurien nonagénaire : le Collège d’Occitanie.

Francis Falcou

Enseignement et communication : l’exemple du Collège d’Occitanie.

Jean Fourié

Louisa Paulin, escolana du Collège d’Occitanie en 1935-1936.

Raymond Ginouillac

Musique et danse au temps de Prosper Estieu.

Sophie Jacques-Serano

Les relations entre Joseph Salvat et Antonin Perbosc.

Georges Passerat

Le Collège d’Occitanie et la renaissance occitane en Basse-Auvergne et Velay.

Jean Roux

Le Collègi d’Occitania (Collège d’Occitanie) aujourd’hui.

Jean Salles-Loustau

Le Collège d’Occitanie au fil des ans.

Hervé Terral

Du Félibrige au Collègi d’Occitania (Collège d’Occitanie) dans le Tarn, 1880-1945.

Bertrand de Viviés

 

Télécharger
Bulletin de Commande
BULLETIN DE COMMANDE 1 PDF.pdf
Document Adobe Acrobat 309.3 KB

Les 700 ans d'une collégiale : Saint-Michel de Castelnaudary

Parution 1er trimestre 2020 au prix de 15 €

Ouvrage publié par

Centre Lauragais d’Études Scientifiques

Société d’Études Scientifiques de l’Aude

Les Amis de Castelnaudary et du Lauragais

Les Amis des Orgues et du Carillon de Castelnaudary

 

Avant-propos

Carole Delga, présidente de la région Occitanie, Patrick Maugard, vice-président du conseil départemental de l’Aude et maire de Castelnaudary, Alain Planet, évêque de Carcassonne et Narbonne

Introduction.

Michelle Fournié

Le terroir de Castelnaudary et son encadrement religieux : de la mise en place du réseau paroissial et des origines du château jusqu’à la création de la collégiale en 1318.

Jean-Paul Cazes

Saint-Michel de Castelnaudary au XIVe siècle : la place d’une collégiale dans la production artistique du diocèse de Saint-Papoul.

Adeline Béa 

Les chapiteaux historiés du portail latéral nord de la collégiale Saint-Michel de Castelnaudary : le mystère révélé. Marie-Béatrice Jeanjean

La collégiale Saint-Michel et l’argent (XIVe-XVsiècles). Marie-Claude Marandet

Une collégiale et ses confrères. L’exemple de la confrérie Saint-Joseph et Sainte-Barbe de Castelnaudary (XVIe-XVIIIe siècles). Claude-Marie Robion

La collégiale Saint-Michel au XVIIIe siècle. Marie-Rose Viala

Les principales restaurations du XIXe et XXe siècle. Francis Falcou

Les orgues et le carillon de la collégiale Saint-Michel de Castelnaudary. Roland Tandou

Les sermons de l’abbé Joseph Salvat en la collégiale Saint-Michel de Castelnaudary. Jean Fourié

Télécharger
Bulletin de commande 2020
BULLETIN DE COMMANDE 2020.pdf
Document Adobe Acrobat 137.7 KB

Marie-Rose Viala, Révolution à Castelnaudary

 

 

 

 

Dernier ouvrage de Marie-Rose VIALA

sur la Révolution à Castelnaudary.

Paul Tirand, Armand Barbès, L'indigné permanent 1809-1870

Paul Tirand, sociétaire du Centre Lauragais d'Etudes Scientifiques et de la Société d'Etudes Scientifiques de l'Aude vient de publier une biographie de l'audois Armand Barbès, ancien député français et défenseur des valeurs républicaines du XIXe siècle: Armand Barbès, L'indigné permanent 1809-1870 aux éditions Éditions L'Harmattan, accompagnée de lettres inédites provenant des Archives de Russie.


Présentation de l'ouvrage:
« Barbès, un exemple ? Mieux que cela, un Homme. » George Sand caractérise ainsi celui qu'elle entourait à la fois d'un immense respect et d'une sorte d'affection. Elle savait en effet qu'il avait payé le prix de ses idées républicaines et de sa lutte sur tous les fronts par trente ans de prison et d'exil. Redécouvrir cette figure exemplaire, parfois oubliée, tel a été le but de l'auteur. Il s'appuie sur des documents inédits des Archives de Russie, détentrices d'une riche collection concernant l'histoire du socialisme et des mouvements révolutionnaires au XIXe siècle. Les lettres de Barbès à divers correspondants (Etienne Arago, Louis Blanc, Victor Schœlcher et bien d'autres) permettent d'approfondir certains aspects de sa personnalité. S'y ajoutant dix lettres et le texte magnifique d'un Appel au Peuple (novembre 1852) que détiennent les Archives de Guadeloupe. Le parcours de cette personnalité, née en 1870 à Pointe-à-Pitre, aux attaches audoises (il fut député de l'Aude en 1848) permet de mieux connaître ce XIXe siècle, certes fait d'espérances perdues ou trahies mais aussi d'élaboration et de diffusion des idées républicaines et démocratiques. Barbès en fut un des principaux acteurs. Hélas ! il meurt en exil à La Haye, en juin 1870, deux mois avant la proclamation de cette République qu'il avait toujours appelée de ses vœux."
Retrouvez cet ouvrage sur le site de l'éditeur: http://www.editions-harmattan.fr/
et à la Librairie Calmy:
7 Rue Gambetta 
11400 Castelnaudary 
Tel : 04 34 23 01 81 
Fax : 04.68.94.17.55 
Email : renee.calmy@orange.fr 
Horaires d'ouverture : Lundi au samedi de de 9h à 12h et de 14h à 19h. 

Lucien ARIES, Un Lauragais dans l'enfer de 14

Des centaines de lettres signées de la main du père de l’auteur, d’une belle écriture régulière, toujours rassurantes et remplies de tendresse pour sa mère, racontent de façon émouvante comment un enfant du Lauragais au front et sa mère, ont traversé ces années de guerre de 14.

 

Fils unique, orphelin de père, il n’a pas encore vingt ans quand il part à la guerre : sa mère devient chef d’entreprise malgré elle. Au fil de cette correspondance, on découvre la peur et l’angoisse, mais aussi la vie de ces femmes souvent seules, qui ont assuré la survie du pays en guerre, ainsi que certains besoins alimentaires et vestimentaires de leur fils ou de leur époux au front ou en captivité.

 

 

Ce premier livre, met en parallèle la vie du fils au front, celle de sa mère aux prises avec les aléas de son entreprise et celle de sa bien-aimée qui l’attend ; les lettres sont analysées et replacées dans leur contexte militaire d’une part, et socio-économique d’autre part. Il éclaire le rôle majeur des femmes et évoque la vie difficile en Lauragais durant ce conflit.

 

 

En vente dans les librairies du Lauragais (15 €) et A.R.B.R.E. 38 Rond-Point des Bleuets 31450 Baziège (05 61 81 83 67)

Marie-Rose Viala, Castelnaudary au XVIIIe siècle

Le livre montre l'évolution spatiale de la ville de Castelnaudary au cours du XVIIIe siècle. Sa richesse, grâce à l'importance du commerce du blé, autour de l'artère majeure constituée par le Canal du Midi, est abordée. 
L'étude des institutions (consulat, présidial, enseignement) est également étudiée
Des anecdotes à propos des moulins, des fontaines et des hôtelleries complètent cette riche étude qui s'appuie sur une documentation conservée aux Archives Départementales et aux Archives Municipales de Castelnaudary.
Le livre est vendu à la Maison de la Presse, à la librairie Calmy, au Tabac-presse "Comptoir de la Presse"  situés à Castelnaudary, à la librairie du Beffroi et à la librairie Tome 19 à Revel... et chez l'auteur (1 Rue Félix Eboué Castelnaudary).

L’épidémie de suette miliaire à Castelnaudary en 1781-1782

Résumé de la conférence de Marie-Rose Viala du 22 Mars 2014 à Castelnaudary
Cette maladie qui se caractérise par de fortes sueurs et des éruptions en forme de grains de mil, d’où son nom, a beaucoup surpris parce qu’elle était quasiment inconnue, même des médecins.
Nous avons pu en suivre le déroulement grâce à une documentation importante constituée des procès-verbaux consulaires, des rapports des médecins- manifestations de la maladie, traitement- de la correspondance avec les villes voisines et les autorités médicales de Montpellier et Paris.
La maladie commence par des sueurs plus ou moins abondantes, continue par une éruption généralisée et par des effets marqués de manière variable selon les individus affectant l’estomac, la vessie… Les remèdes sont ceux de la pharmacopée traditionnelle : plantes locales  et exotiques utilisées en vésicatoires, vomitifs, sinapismes, etc. Il faut préciser aussi que les médecins se sont refusé à saigner, ce qui était encore banal dans tous les cas d’épidémies. La mortalité, qui a affecté les gens de 20 à 50 ans environ, a été jugée relativement faible par les contemporains.
On a rendu hommage en son temps, au zèle des autorités consulaires qui n’ont pas ménagé leurs efforts pour recruter des médecins « étrangers », ceux de la ville et les chirurgiens ne suffisant pas, pour informer par des textes imprimés l’ensemble de la province et au-delà.
L’étude de cette épidémie et les problèmes qu’elle a posés, connus à travers les points de vue des médecins, des autorités provinciales, de l’Académie de médecine de Montpellier, de la Société royale de médecine, révèlent l’état de la médecine des Lumières où cohabitent des pratiques traditionnelles mais où se manifestent, déjà, l’ébauche de pratiques et d’appréciations nouvelles.